Interrogée sur l'absence de diffuseur pour l'équipe de France pour la Coupe du Monde 2023, qui débute dans quelques semaines, la capitaine de Lyon a réagi en zone mixte.

 

 

Journaliste - La Coupe du monde c'est dans un peu plus de deux mois et il n'y a toujours pas de diffuseur en France. Quel est votre regard là-dessus ?

W. R. - (rires et sourire) C'est à vous qu'il faut poser cette question (rires). Je retourne la question de votre côté : "Qu'est ce que vous en pensez ?" (sourire)

Non, après, nous ne sommes pas décisionnaires de ça. Maintenant, c'est à la FFF et toutes les personnes qui s'occupent de ça, de faire l'appel d'offres qu'il faut pour attirer [un diffuseur]. Mais j'y crois et je pense qu'on ne peut qu'avoir un diffuseur, parce que le foot féminin est en train d'éclore de partout. Si on n'a pas de diffuseur, ça voudrait dire qu'on fait marche arrière. Pour moi, après tout ce qui a pu se passer ces dernières semaines, ces derniers mois, même pour la D1 Arkema l'année prochaine, je pense que c'est dans le bon sens [la dynamique qui est entrain de se mettre en place autour du foot féminin]. Maintenant, chaque personne a sa place et ce n'est pas ma place de pouvoir décider et de choisir, mais il y a des gens compétents qui sont en place et qui prendront les décisions.

 

Photo : OL

Dounia MESLI