Beaucoup d'eau ont coulé sous le pont avant la finale à Calais depuis la première crise dans le vestiaire parisien. Tout semblait aller pour le mieux. Mais l'équipe emmenée par Fabrice Abriel n'a pas été à la  hauteur de l'événement et a dû se résoudre à perdre son titre de championne de la coupe de France acquis l'année dernière. 

Il y a vait bien de l'électricité dans l'air ces dernières semaines au Paris SG avec la mise à l'écart de Sakina Karchaoui mais à la surprise générale, Marie Antoinette Katoto démarrait aussi la rencontre sur le banc des remplaçantes. 

Une ambiance morose avant la finale

On se rappelle tous de cette déclaration de Katoto devant les médias lors de la crise suscitée par le retrait du brassard de Grace Geyoro en évoquant une ambiance "pesante" au sein du PSG depuis l'arrivée de l'entraîneur Fabrice Abriel. On savait alors qu'elle était une joueuse de caractère qui n'avait pas sa langue dans sa poche.

La récente mise à l'écart de Sakina Karchaoui, une joueuse pourtant perfomante n'a certainement pas du plaire à l'attaquante qui par un élan de solidarité a dû en faire les frais.

Des accointances compliquées avec le coach

Fabrice Abriel est un entraîneur au caractère affirmé, marqué par une rigueur tactique et des décisions audacieuses. Cependant, son style direct semble avoir créé des tensions contribuant à une dynamique difficile dans le vestiaire parisien. Sa gestion de l’équipe lors de la finale perdue face au Paris FC a renforcé les critiques sur son leadership et détruit le lien entre lui et certaines joueuses cadres de l'équipe.

 

                Kossigan AGAMAKOU