« C'était un match difficile, très bel adversaire, très dur adversaire Wolfsburg. Fort dans la percussion, dans un style différent avec un style direct, fort dans les duels également. Il a fallu qu'on fasse un bon match. J'avais dit effectivement dans ma tête, que pour moi si on arrivait à 0-0 à la mi-temps, c'était une bonne chose pour nous parce qu'on savait que c'était leur troisième match en une semaine. »

Où s'est faite la différence ?

« On a rectifié le tir sur l'organisation de l'équipe puisqu'on avait du mal à avoir la possession. Donc on a changé à la mi-temps et puis avec la fatigue de Wolfsburg, on a eu un peu plus d'espaces et on a fait une bonne deuxième période.

(…) En première période, on a joué dans un registre qui était moins le nôtre parce qu'ils nous ont pas permis d'avoir la possession escomptée, donc c'était une première période où les deux équipes voulaient gagner, les deux équipes pouvaient marquer. En première période, Wolfsburg a des occases, nous aussi un petit peu et donc ça s'est joué, en tout cas pour nous, sur le fait qu'aucune des deux équipes n'a marqué en première période. Et en deuxième période, on a eu effectivement un peu plus d'espaces, plus d'occasions et donc on a su les concrétiser. »

La qualification ?

« On pourrait faire référence à tellement de match, du Barça... Non deux buts, ils sont capables de mettre deux buts, ça c'est sûr. Après, faut qu'ils nous en mettent trois sans qu'ils en prennent. A nous de jouer, à nous de récupérer et de faire un gros match retour au Parc OL avec le soutien du public pour effectivement aller au bout. C'est loin d'être fait. »

Propos recueillis par notre correspondant à Wolfsburg : Asif Burhan 

Dounia MESLI